Dépistage du cancer du sein : Un simple contrôle, une grande différence
Mesdames et Messieurs aussi de 50 à 74 ans, rendez-vous tous les 2 ans pour un dépistage gagnant ! Les études montrent que ce petit geste peut réduire de 15 % à 21 % les risques de décès liés au cancer du sein.
Alors, pourquoi ne pas prendre soin de vous et faire un pas pour votre santé ?
Qui est concerné par le dépistage du cancer au sein ?
« Si vous avez entre 50 et 74 ans, ce programme est fait pour vous ! Pas de symptôme ? Pas de risque jugé ‘élevé’ ou ‘très élevé’ ? C’est parfait, vous êtes pile dans la cible !
Moins de 50 ans et pas de facteur de risque ? Pas besoin de vous précipiter, le dépistage systématique peut encore attendre.
Plus de 74 ans ? Là, on en discute avec votre médecin, votre gynécologue ou même votre sage-femme, pour un suivi aux petits soins.
Dans tous les cas, un professionnel de santé vous guidera vers le suivi le plus adapté, parce que votre santé mérite toute l’attention du monde, quel que soit votre âge ! »
Quelle démarche à effectuer pour faire un dépistage du cancer du sein ?
À partir de 50 ans, et tous les 2 ans ensuite, vous recevrez directement chez vous un courrier vous invitant à participer au dépistage organisé du cancer du sein.
Ce courrier est envoyé par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) de votre région.
Dans l’enveloppe, vous trouverez une liste de radiologues agréés parmi lesquels vous êtes libre de choisir celui qui vous convient le mieux. Vous avez également la possibilité de consulter un radiologue agréé dans un autre département si cela vous arrange.
L’Institut National du Cancer et l’Assurance Maladie mettent aussi à votre disposition un espace dédié pour vous informer et vous accompagner dans la réalisation des tests de dépistage.
Et si j’ai moins de 50 ans et plus de 74 ans?
Il faut demander l’avis de votre médecin qui jugera si un dépistage est nécessaire, il vous remettra une ordonnance pour prendre rendez-vous chez le radiologue de votre choix.
L’examen sera à votre charge, mais l’Assurance Maladie vous remboursera 70 % du tarif conventionnel.
Le montant restant pourra être couvert par votre complémentaire santé.